En 1978, au cœur d’un laboratoire japonais, des chercheurs souhaitent connaître le secret de longévité d’un groupe de moines bouddhistes.
Il s’intéressent notamment à un aliment fermenté qu’ils chérissent tout particulièrement… le natto,
Et ils en isolent une molécule jusque-là inconnue..
La molécule en question, c’est la PQQ — pyrroloquinoline quinone – et elle est naturellement présente dans ce plat à base de graines de soja fermentées, prisé depuis des siècles par les moines bouddhistes japonais. Ces hommes, souvent actifs jusqu’à un âge avancé, témoignent d’une clarté mentale et d’une longévité qui fascinent encore aujourd’hui.
La PQQ attire rapidement l’attention de la communauté scientifique. Et pour cause : plus de 200 publications ont depuis confirmé ses propriétés biologiques, notamment sa capacité à stimuler la biogenèse mitochondriale — c’est-à-dire la création de nouvelles mitochondries dans nos cellules [1].
Les mitochondries, toujours elles
À mesure que l’on vieillit, notre vitalité décline, non pas uniquement à cause de l’usure mécanique du corps, mais surtout à cause d’un effondrement de notre capacité cellulaire à produire de l’énergie. Au cœur de ce phénomène : les mitochondries, qui produisent l’énergie de vos cellules.
Vous les connaissez, nous en avons longuement parlé.
Avec l’âge, ces mitochondries s’altèrent, s’enflamment, produisent plus de radicaux libres… et surtout, elles cessent de se renouveler. Cette perte progressive est liée à des symptômes bien connus : fatigue chronique, troubles cognitifs, douleurs musculaires, ralentissement cardiaque…
Or, la PQQ pourrait changer la donne.
Elle relance votre “jeunesse cellulaire”
Selon une étude pionnière menée à l’Université de Californie (Davis), une supplémentation en PQQ pendant 8 semaines a permis d’augmenter l’activité mitochondriale de 60 % chez des adultes en bonne santé [2]. Un chiffre impressionnant, qui suggère un rajeunissement fonctionnel au niveau cellulaire.
En activant une enzyme clé appelée PGC-1α, la PQQ déclenche un processus de biogenèse mitochondriale — un phénomène que l’on croyait réservé aux jeunes ou aux sportifs de haut niveau [3].
Lws résultats sont flagrants :
- Un réveil plus vif, sans sensation de brouillard cérébral
- Une énergie musculaire retrouvée (notamment dans les jambes et le dos)
- Moins de fatigue postprandiale (après les repas)
- Une tolérance accrue au stress
- Un meilleur sommeil et une humeur plus stable
- Une peau plus tonique, en lien avec l’amélioration du métabolisme cellulaire
PQQ + …? : comment décupler son potentiel
La PQQ agit en synergie avec une autre molécule essentielle à la santé mitochondriale : la coenzyme Q10. Ensemble, elles agissent comme deux clés dans la même serrure : la PQQ crée de nouvelles mitochondries, la CoQ10 les nourrit et les protège du stress oxydatif [4].
Ce duo est désormais intégré dans plusieurs formulations naturelles anti-âge inspirées des traditions orientales, mais validées par la rigueur de la science moderne.
En 1978, au cœur d’un laboratoire japonais, des chercheurs souhaitent connaître le secret de longévité d’un groupe de moines bouddhistes.
Il s’intéressent notamment à un aliment fermenté qu’ils chérissent tout particulièrement… le natto,
Et ils en isolent une molécule jusque-là inconnue..
La molécule en question, c’est la PQQ — pyrroloquinoline quinone – et elle est naturellement présente dans ce plat à base de graines de soja fermentées, prisé depuis des siècles par les moines bouddhistes japonais. Ces hommes, souvent actifs jusqu’à un âge avancé, témoignent d’une clarté mentale et d’une longévité qui fascinent encore aujourd’hui.
La PQQ attire rapidement l’attention de la communauté scientifique. Et pour cause : plus de 200 publications ont depuis confirmé ses propriétés biologiques, notamment sa capacité à stimuler la biogenèse mitochondriale — c’est-à-dire la création de nouvelles mitochondries dans nos cellules [1].
Les mitochondries, toujours elles
À mesure que l’on vieillit, notre vitalité décline, non pas uniquement à cause de l’usure mécanique du corps, mais surtout à cause d’un effondrement de notre capacité cellulaire à produire de l’énergie. Au cœur de ce phénomène : les mitochondries, qui produisent l’énergie de vos cellules.
Vous les connaissez, nous en avons longuement parlé.
Avec l’âge, ces mitochondries s’altèrent, s’enflamment, produisent plus de radicaux libres… et surtout, elles cessent de se renouveler. Cette perte progressive est liée à des symptômes bien connus : fatigue chronique, troubles cognitifs, douleurs musculaires, ralentissement cardiaque…
Or, la PQQ pourrait changer la donne.
Elle relance votre “jeunesse cellulaire”
Selon une étude pionnière menée à l’Université de Californie (Davis), une supplémentation en PQQ pendant 8 semaines a permis d’augmenter l’activité mitochondriale de 60 % chez des adultes en bonne santé [2]. Un chiffre impressionnant, qui suggère un rajeunissement fonctionnel au niveau cellulaire.
En activant une enzyme clé appelée PGC-1α, la PQQ déclenche un processus de biogenèse mitochondriale — un phénomène que l’on croyait réservé aux jeunes ou aux sportifs de haut niveau [3].
Les résultats sont flagrants :
- Un réveil plus vif, sans sensation de brouillard cérébral
- Une énergie musculaire retrouvée (notamment dans les jambes et le dos)
- Moins de fatigue postprandiale (après les repas)
- Une tolérance accrue au stress
- Un meilleur sommeil et une humeur plus stable
- Une peau plus tonique, en lien avec l’amélioration du métabolisme cellulaire
Combinez avec CECI pour un effet “décuplé”
La PQQ agit en synergie avec une autre molécule essentielle à la santé mitochondriale : la coenzyme Q10. Ensemble, elles agissent comme deux clés dans la même serrure : la PQQ crée de nouvelles mitochondries, la CoQ10 les nourrit et les protège du stress oxydatif [4].
Ce duo est désormais intégré dans plusieurs formulations naturelles anti-âge inspirées des traditions orientales, mais validées par la rigueur de la science moderne.
Stimuler les mitochondries, c’est raviver une forme de jeunesse cellulaire. C’est peut-être là la différence entre deux septuagénaires : l’un jardine, médite, voyage… l’autre peine à monter les escaliers.
Le natto, ca se mange comment ?
Le secret des moines japonais ne réside pas uniquement dans une molécule isolée, mais dans leur alimentation et leur mode de vie. Le natto, cette pépite fermentée de graines de soja, est de loin la source la plus riche en PQQ. Son goût et sa texture uniques peuvent surprendre de prime abord – souvent décrits comme puissants et umami – mais il s’intègre parfaitement à des plats traditionnels japonais, comme mélangé à du riz chaud avec un filet de sauce soja et de la ciboule.
Si le natto ne devient pas votre aliment du quotidien, sachez que la PQQ est aussi présente, bien qu’en concentrations moindres, dans d’autres aliments que vous consommez peut-être déjà : on en trouve dans le thé vert, le kiwi, le persil, les poivrons verts, le céleri, ou encore certains produits fermentés comme les fromages affinés et le miso.
Une manière simple de l’intégrer est de le mélanger dans une salade composée, de l’ajouter à une omelette, ou même de le consommer sur du pain grillé avec de l’avocat pour un petit-déjeuner riche en énergie. Commencer par de petites quantités et l’associer à des saveurs que vous aimez peut faciliter son adoption.
La clé de la longévité : une approche intégrée
Ainsi, qu’il s’agisse d’une supplémentation ciblée pour des doses optimales ou d’une intégration astucieuse dans votre alimentation, la PQQ représente un pas de géant dans notre compréhension de la longévité. Elle nous rappelle que le bien-vieillir n’est pas une fatalité génétique, mais une danse complexe entre nos choix de vie et le potentiel insoupçonné de nos cellules.
Et si la véritable quête de la longévité était de redonner à votre corps les moyens de sa propre résilience, un petit pas après l’autre, pour une vie plus longue, plus saine, et surtout, infiniment plus joyeuse ? Le futur commence dans vos cellules. À vous de l’activer.
Références scientifiques
- Rucker, R.B. et al. (2009). “Biochemistry and function of pyrroloquinoline quinone.” BioFactors.
- Harris, C.B. et al. (2013). “Effect of PQQ on mitochondrial function in humans.” Journal of Nutritional Biochemistry.
- Stites, T.E. et al. (2006). “PQQ stimulation of mitochondrial biogenesis is mediated through CREB phosphorylation and activation of PGC-1α.” Journal of Biological Chemistry.
- Akagawa, M. et al. (2015). “Synergistic effects of PQQ and CoQ10 on mitochondrial energy metabolism and oxidative stress.” Molecular Nutrition & Food Research.
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